Au TOP en 2019, en route vers 2020 : Thomas BALABAUD

Nous avons trouvé la seule photo sur laquelle Thomas ne sourit pas. Profitez. c’est si rare!

Que dire de Thomas qui le rejoint le Team Outdoor Poli cette année? Déjà, que le garçon il a toujours le sourire! Qu’il est également toujours en retard ;) Mais on l’aime bien quand même! Qu’il vient d’être papa. Qu’il a été blessé dès son arrivée et pendant un petit moment mais qu’il a engrangé un nombre de victoires impressionnant cette année après toutes ses galères. Voici un bref portrait mais vous pourrez en savoir plus en découvrant ses réponses aux questions posées par les autres athlètes du Team.

Thomas, je suis ravie de te compter parmi nous. Je te souhaite une belle SaintéLyon et en route vers 2020.

Agnès

Julie AUFFRAY : Comment décrirais-tu l’esprit Team Outdoor en une phrase ?

Le partage d’une passion commune sous la bannière jaune !

Thomas BALABAUD à lui-même : Voilà un an que tu portes le maillot jaune. Qu’est-ce que ça t’a apporté en plus ?

Faire partie de Team Outdoor, c’est pour moi :

► Faire de très belles rencontres.

► Partager des courses, des week-ends, des veillées.

► Une motivation supplémentaire pour me dépasser.

► La fierté de porter ce maillot jaune !

► Échanger et transmettre mon expérience d’athlète et de kiné avec les clients et les autres membres du Team.

Benoit GANDELOT : Kiné / coureur lequel apporte le plus à l’autre ?

J’ai la chance d’avoir un métier complémentaire de ma passion. C’est sûr, qu’en tant que coureur, j’anticipe et je diagnostique plus rapidement d’éventuelles blessures. Après, comme on dit, les cordonniers sont les plus mal chaussés : j’en fais parfois trop au point de me blesser. Il est parfois difficile de se raisonner et de réduire son volume d’entrainement et pourtant c’est la clé pour durer dans le temps.

Lors de l’atelier « Étirements » animée par Thomas lors de la veillée du Bois du 14 novembre

En tant que kiné, j’ai beaucoup de coureurs dans ma patientèle. Avoir vécu les blessures et connaitre parfaitement ce sport est forcément un gros plus pour soigner mes patients.

Jonathan DUHAIL, Renaud VINCENT : On dirait que tu es encore plus performant depuis que tu es papa. Trouves-tu le temps de courir ? Explique-nous ton secret pour t’organiser ?

Étant professionnel libéral, j’ai la chance de pouvoir moduler mon emploi du temps à ma guise. J’ai pu réduire mes journées de travail pour pouvoir m’entrainer et profiter de mon petit Malo. Je peux également compter sur ma femme pour assurer quand je suis en course ou à l’entrainement.

Edouard DUPAS : Tu as en ligne de mire la SaintéLyon, course à laquelle tu as déjà participé en 2016. Selon toi quelles sont les caractéristiques de cette course ?

La SaintéLyon n’est pas une course facile. C’est plutôt roulant, donc peu de montées pour passer en mode marche, on peut presque toujours courir. Cependant, il y a quand même 2000 mètres de D+ ce qui peut bien vous couper les jambes si vous ne vous êtes pas assez entrainé en côtes !

Les conditions météo : il peut faire très froid avec des températures négatives. On peut avoir de la pluie et même de la neige. Attention à la manière dont vous allez vous habiller : ne pas hésiter à enlever ou remettre une couche au cours de la course si nécessaire.

Notons aussi que la SaintéLyon se court en grande partie de nuit, alors il faut rester vigilant, les repères changent. Optez pour une bonne lampe frontale et plusieurs batteries : attention car leur autonomie est moindre lorsqu’il fait froid.

Enfin, le départ donné à 23h30 peut être perturbant pour l’organisme (sommeil, digestion, …). Après, personnellement, ça ne me pose aucun problème.

Nicolas DUHAIL : Tu réalises une superbe fin de saison, j’ai hâte de voir ce que ça va donner sur la SaintéLyon. Comment as-tu prévu de récupérer après cet objectif, afin de revenir en pleine forme début 2020 ?

Il est vrai que les sensations sont bonnes, c’est la dernière ligne droite dans le gros de l’entrainement… J’ai prévu un mois de décembre très cool. Pas de dossard ni de plan d’entrainement. Juste courir pour le plaisir et ne pas trop en faire car j’aurai beaucoup donné au cours de ma préparation. J’aurai besoin de bien récupérer car le programme 2020 va être copieux en courses et kilomètres avec, entre autres, les cross et quelques trails pour bien démarrer l’année.

Agnès DUHAIL : Quelle est la course qui t’as laissé le plus beau souvenir cette année ?

J’aurais envie de dire le trail du Josas car toute la team était là. C’était vraiment super sympa de partager cette course ainsi que la paëlla, même si le résultat n’était pas forcément au rendez vous. Ça peut paraitre paradoxal car c’est la seule course que je n’ai pas gagnée cette année. Mais je trouve qu’il n’y a rien de plus plaisant que le partage. Je prends moins de plaisir à faire des courses sans les copains.

Thomas