Bienvenue au TOP à Julien TRIOLLIER #TeamOutdoorPoli

En ce début d’année, il est grand temps de présenter les nouveaux venus dans la TEAM. C’est au tour de Julien TRIOLLIER de passer l’épreuve des questions des autres membres du Team Outdoor Poli à travers de laquelle vous allez le découvrir.

Thomas BALABAUD : « Comment es-tu arrivé à la course à pied et particulièrement au trail ? »

Je dirais par fait de circonstances, car si l’on m’avait dit qu’un jour, je pratiquerais la course à pied quotidiennement, je ne l’aurais pas cru une seule seconde ! J’ai passé plus de 10 ans à pratiquer le basketball à un niveau régional et national, j’ai également eu la chance de faire régulièrement du ski habitant tout proche des montagnes.

Malheureusement, pour des raisons professionnelles et notamment mon arrivée en région parisienne, il a fallu que je tire un trait sur tout ça. A l’époque et il n’y a encore pas si longtemps, je courais 1 fois / semaine pour le travail mais j’y trouvais que très peu d’intérêt.

Finalement, c’est après avoir participé, sans préparation,au au semi-marathon de Paris avec des collègues de travail, que j’ai compris que je pourrais peut-être trouver du plaisir à courir. J’avais une idée bien précise en tête, essayer de participer à des courses natures qui me permettrait de découvrir les paysages sauvages qui m’entourent ! La finalité dans tout ça, réussir à gravir les montagnes que j’ai dévalé toute ma jeunesse en ski ! Cela fait maintenant 2 ans que je pratique sérieusement le trail.

Nicolas DUHAIL : «Dans quel coin habites-tu et quels sont tes spots d’entrainement favoris? »

J’habite Villejuif depuis peu, je m’entraine principalement dans les environs où je réussis à avoir quelques rues un peu raides mais bien trop courtes. Mes spots favoris restent sans hésitation, Montmartre (avec un parcours fétiche de 6,5km et 330m D+), Sèvres (avec la fameuse rue de la Garenne 100m D+ pour 750m) et enfin le site des 25 bosses de Fontainebleau. L’éloignement géographique me contraint d’aller sur ses spots ponctuellement. J’ai également la chance de pouvoir m’entrainer sur mon lieu de travail, à Villeneuve-Saint-Georges. Un spot sympa tout proche s’y trouve, le mont Griffon à Yerres. J’aimerais bien, également, découvrir la station de trail des Yvelines.

Édouard DUPAS : « Quels sont tes objectifs 2020 ? »

Je vais devoir débuter tardivement ma préparation (début mai) pour des raisons familiales et professionnelles. Mes objectifs seront donc le trail de Montreux fin juillet (55km et 4200 D+) ainsi que l’Intégral des Causses à Millau fin octobre (61km 3000D+). Je serais également avec la TEAM sur le week-end TEAM à Besançon. Bien évidemment, d’autres courses de préparation viendront s’ajouter et agrémenter la saison (tels que les Championnats de France Armée de Terre de trail en juin ou encore l’Impérial trail en septembre).

Benoit GANDELOT : « Quels sont les profils de course que tu affectionnes ? Y-a-t-il des épreuves sur lesquelles tu rêves de t’aligner ? »

J’aime particulièrement les courses techniques à fort dénivelé. Cela peut sembler paradoxal avec le terrain qui nous entoure en région parisienne mais c’est sur ce type de profil que je prends le plus de plaisir. Quant à la distance, j’ai encore beaucoup à apprendre sur des formats de 40 à 60km.

Il y a bien des épreuves sur lesquelles j’aimerais m’aligner dans un futur, plus ou moins proche. Tout d’abord, la SaintéLyon qui part de ma ville natale et où se trouve encore toute ma famille. Ensuite, il y a la MaxiRace d’Annecy, le Marathon du Mont Blanc ou encore le MIUT (Madeira Island Ultra-Trail). Il faudra simplement patienter encore un peu, je ne veux pas griller les étapes que je me suis fixées. Enfin et comme beaucoup, j’ai évidemment en tête, la TDS et l’UTMB. Cependant, je souhaite acquérir quelques années d’expérience supplémentaires sur des formats plus courts avant de m’aligner sur ce genre de format ultra.

Julie AUFFRAY : « Si la course n’existait pas, quel sport pratiquerais-tu et pourquoi ? »

Si ma situation géographique me le permettait, je pense que ce serait, sans aucun doute, le ski de randonnée. La pratique du ski alpin depuis l’âge de 3 ans et cet attachement que j’ai de la montagne serait la raison principale. Je pense que cette pratique offre une réelle liberté, elle est très physique et impose une connaissance minutieuse du milieu montagneux, que j’aurais aimé connaitre, pour l’appréhender correctement.

Renaud VINCENT : « Quel est jusqu’à présent ton meilleur souvenir en trail ? »

Il y a le passage sous l’arche de la Pierra Menta d’été l’an passé après avoir partagé 3 jours de course intense avec mon binôme. Réussir à repousser ses limites pour l’autre lorsque l’on est encordé et se soutenir mutuellement dans l’effort sur un profil plutôt alpin que skyrunning restera à jamais gravé !

Il y a aussi l’arrivée, cette année, de la 1ère étape de la XL Race d’Annecy (44km 2500D+). On m’annonce 3ème à Doussard, chose inattendue et inespéré. J’avais pour objectif de me faire un week-end choc sans vraiment d’objectif (j’avais d’ailleurs, à peine 2h de sommeil et tenté d’utiliser une paire de bâton pour la 1ère fois). La 2nde étape a dû être abordée avec un tout autre objectif, celui de monter sur le podium. Mission réussie après une lutte acharnée et non sans peine !

Jonathan DUHAIL : « Cette année, tu as participé à des profils de courses très différents (du KV au trail long en passant par la route). Comment organises-tu ton entrainement ?»

Effectivement, cet été, j’ai eu l’occasion de participer au KV de Nantaux, c’était ma 1ère expérience. Un effort monstrueux à fournir que j’ai dû réaliser sans bâton. Ce que j’aime finalement, c’est pouvoir découvrir d’autres formats facilement accessibles et qui sont finalement complémentaires. Autre exemple, le BRA (Brevet de Randonneurs des Alpes), une cyclo-montagnarde de 180km et 4300D+ avait été un bon moyen de varier le plaisir et faire du volume dans une préparation.

Sinon, j’organise mon calendrier de la saison en choisissant deux courses principales. Ensuite, je m’aligne à des courses dites de préparation. En général, les distances sont progressives (allant de 20 à 40 km) pour m’amener en forme et prêt sur la course que j’ai choisi pour objectif. En ce qui concerne les courses sur route, c’est tout nouveau pour moi. J’ai décidé de travailler la vitesse (qui est mon gros point faible) cet hiver. Le format 10km me semble intéressant. Je vais donc continuer la route jusqu’au mois de février. Ensuite, je regagnerai très rapidement les sentiers !

Agnès Duhail : « Comment as-tu entendu parler du Team Outdoor Poli la 1ère fois ? Quelles raisons t’ont poussées à en faire partie ? Et qu’attends-tu de cette aventure ?

J’habitais et je travaillais dans le 12ème arrondissement de Paris. Quand je cherchais à m’équiper et avoir quelques conseils professionnels à mes débuts, on m’a orienté vers la boutique Team Outdoor. Puis, j’ai régulièrement croisé des coureurs du TOP quand je participais à des courses dans la région (Il faut dire qu’ils ne passent pas inaperçu en jaune vêtu). J’ai le souvenir d’avoir partagé un bout de chemin et échangé avec Benoit Gandelot sur le Maxicross de Bouffémont en 2018. Ensuite, j’ai commencé à suivre la page Facebook et m’intéresser petit à petit au TOP.

J’aime partager cette passion du trail avec les autres. La plupart de mes amis « trailer » ne sont malheureusement plus en région parisienne. Du coup, j’avais envie d’appartenir à un groupe et retrouver une certaine dynamique qui me permettrait de m’épanouir sportivement et humainement. J’ai donc tout de suite pensé au TOP ! J’attends de cette aventure, qu’elle puisse m’apporter ce que j’ai connu quand je pratiquais le sport collectif. C’est à dire, apprendre des autres (les athlètes du TOP sont tous très performants dans des domaines différents et ce sera une chance pour moi de les côtoyer et de partager leur expérience) mais aussi véhiculer l’état d’esprit TOP lors des veillées et de mes participations aux courses. Bref, je suis ravi d’intégrer le TOP pour la saison 2020 et j’espère qu’elle sera riche en émotion !

Julien